L’âne marocain est promis à un bel avenir. Sollicité par les géants de l’industrie pharmaceutique chinoise, cet animal qui a longtemps souffert de clichés dégradants et d’une mauvaise réputation aux yeux des Marocains, est bien parti pour prendre sa revanche et se repositionner en tant qu’élément clé, économiquement parlant.
Avec une consommation globale de plus d’un million de tonnes d’ânes par an, on peut dire que l’âne occupe une place importante en Chine. En effet, Pékin importe chaque année 80.000 «têtes d’ânes» pour combler son manque à gagner en la matière.
L’âne est utilisé en Chine dans la médecine traditionnelle, mais aussi dans la fabrication de médicaments favorisant la fluidité de la circulation sanguine. L’âne est également utilisé en Chine pour la fabrication d’autres remèdes contre l’anémie ou encore les troubles des menstruations chez la femme.
On peut dire que les chinois appliquent à la lettre la maxime «Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme».
ML
Je suis complètement dégoûté de lire de tel connerie ,les anes qui nous ont tant aidé doivent etre respecté et
Le roi du maroc doit les proteger et metre en prison tous salopard qui tenterait d’exporter des anes pour autre
Chose que l’elevagz à vocation noble
Pauvre âne marocain, moqué trop mal considéré et souvent maltraité il ne lui reste « pour être promis à un bel avenir !!!??? » aux yeux de certains que cette macabre solution « se positionner comme élément clé » dans la pharmacopée chinoise.
L’ âne marocain n’a pas demandé à prendre sa revanche ni a devenir un facteur économique dans l’industrie pharmaceutique chinoise.
L’âne marocain n’est ni un objet de moquerie ni un objet « de transformation pour ne rien perdre » de ses qualités mais une créature de Dieu, un être vivant et sensible doué d’intelligence.
L’âne marocain est dur au labeur et ne rechigne devant aucune tâche à accomplir tant pour labourer les champs, transporter de lourdes charges il faut les voir les jours de marché gravir les sentiers escarpés avec leurs paniers chargés de victuailles pour aller approvisionner les villages les plus reculés de nos montagnes.
L’âne marocain est un animal emblématique du Maroc il fait partie de notre patrimoine et à ce titre il doit être protégé des appétits voraces de l’industrie pharmaceutique chinoise.
Si on laisse faire il risque de disparaîtra à jamais de nos campagnes et n’exister que dans la mémoire collective de nos anciens, dans nos manuels scolaires dans un musée ou pour le plus chanceux d’entre eux le dernier de l’espèce encore vivant dans un zoo.