Le parti de Khalidi, Annahda wal Fadila, s’installe confortement dans le paysage politique. Après avoir intégré «Abou Hafs», le voilà qui ouvre ses bras à une femme au voile intégral, toute vêtue de noir et «mounakkaba», Naïma Dahir.
Une première au Maroc et dans le monde arabe, pour une dirigeante, au sein du secrétariat général du parti Renaissance et Vertu, brisant ainsi une tradition salafiste sévère!
Le problème qui se pose est comment reconnaître cette femme voilée ? En s’habituant à sa voix? Quant aux photographes, ils auront bien du mal à convaincre leur rédaction qu’il s’agit bien de Naïma Dahir…