1er Forum parlementaire Maroc-France

Ouverture Forum parlementaire maroc france rabat decembre 2013

Honneur à la diplomatie parallèle ! Parlementaires marocains et français se sont retrouvés, pour un premier Forum Maroc-France, le 7 décembre 2013, à Rabat. Objectifs: consolider la relation privilégiée franco-marocaine, l’enrichir et voir, concernant les grands dossiers, ce qu’il est possible de faire ensemble. Un pari à portée de main.

«Le Maroc et la France, c’est une belle histoire d’amitié et même… Une belle histoire d’amour». C’est en ces termes que le président de l’Assemblée nationale française, Claude Bartolone, a exprimé ses sentiments dans son discours d’ouverture du premier Forum parlementaire Maroc-France, au siège du Parlement marocain à Rabat.
Fait inédit. C’est la première fois, font remarquer les parlementaires marocains et français, que les deux assemblées françaises posent le principe d’une concertation régulière avec les deux Chambres d’un pays partenaire, dans le cadre de ce premier Forum qui ouvre une nouvelle page dans l’histoire des relations entre les deux parlements marocain et français. Le président du Sénat de l’Hexagone, Jean-Pierre Bel, a de son côté qualifié ce Forum d’instrument nouveau en matière de coopération interparlementaire.
En décidant de tenir à Rabat le premier Forum Maroc-France, les parlements des deux pays aspirent -en plus de l’existence d’une instance de dialogue privilégiée, avec des rencontres de haut niveau qui se tiennent régulièrement depuis 1997 sous la présidence des Premiers ministres des deux pays amis- à faire l’essai de cet instrument novateur qu’est le Forum. Celui-ci apportera, souligne le président du Sénat français, «un complément précieux à ce dispositif en permettant aux parlementaires de nos quatre assemblées de se retrouver périodiquement pour évoquer les préoccupations qui nous sont communes».
La diplomatie parlementaire a été l’invitée d’honneur de ce Forum. Elle a fait l’objet d’un débat très constructif. A côté de la diplomatie officielle et parfois au-devant d’elle, c’est une diplomatie qui s’inscrit dans un temps plus long, parce qu’elle n’est pas soumise aux commandements de l’actualité et ne s’interdit pas le débat d’idées, a expliqué Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale française. Elle s’autorise le langage de la franchise, parce qu’elle n’est pas enfermée dans le protocole et repose sur la confiance née de contacts et d’échanges réguliers.
Même position chez Jean-Pierre Bel qui a dit croire beaucoup à la régularité des rencontres, aux échanges de vive voix car, tient-il à préciser, «une relation ne se décrète pas, elle se vit; les échanges ne s’instituent pas seulement à partir de textes ou d’accords, ils se provoquent; et les liens s’entretiennent, évoluent et s’approfondissent».
Pour sa part, Karim Ghellab, président de la Chambre des représentants, a appelé au renouvellement de ce dialogue entre les représentants des peuples marocain et français. «Ce Forum parlementaire franco-marocain est une consécration de l’action parlementaire commune, du dialogue ouvert et de la coopération parlementaire sérieuse et constructive à tous les niveaux», a-t-il affirmé. Et d’ajouter: «Ce Forum constitue à juste titre un cadre haut de gamme du dialogue entre les parlementaires de nos deux pays et un espace de débats fructueux sur diverses questions d’intérêt commun à travers un langage de franchise et de vérité entre amis, loin du langage de courtoisie».
Allant dans le même sens, le président de la Chambre des conseillers, Mohamed Cheikh Biadillah, a souligné: «La coopération franco-marocaine permet l’innovation continue des mécanismes à même de développer l’environnement économique».
Les différents intervenants n’ont pas manqué de saluer la vitalité des groupes d’amitié franco-marocains qui sont, non seulement parmi les plus importants en nombre de parlementaires, mais aussi parmi les plus actifs, a encore précisé le Président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.
Les représentants de l’Assemblée nationale et du Sénat français ont salué, dans un communiqué final rendu public à l’issue du Forum, les réformes réalisées par le Maroc grâce à la clairvoyance de SM le Roi, Mohammed VI, ainsi que la nouvelle constitution 2011 qui a permis de renforcer l’édifice démocratique du Royaume et de consolider son développement économique.
Les parlementaires marocains et français ont convenu, au terme d’une journée chargée du Forum parlementaire, de consolider l’action démocratique, l’Etat de droit, le commerce et l’investissement, d’améliorer la stabilité commerciale et de faciliter la création des opportunités de travail.
Les représentants des deux parlements, par ailleurs, ont exprimé leur satisfaction, note le communiqué final, quant à la position continue des autorités françaises concernant la question du Sahara, sachant que Paris soutient les efforts déployés dans le cadre des Nations Unies -qui visent à aboutir à une solution politique- et soutient le projet marocain d’autonomie, a lancé le Président de l’Assemblée nationale française, Claude Bartolone. «L’amour, vous le savez, ce sont des preuves quotidiennes et des serments répétés chaque jour», a-t-il dit.
La journée du Forum a été, il faut le reconnaître, pleine de signes positifs. En effet, les parlementaires français ont multiplié les signes qui témoignent de la relation privilégiée entre Rabat et Paris et la volonté de la poursuivre et de l’enrichir.

Mohammed Nafaa
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Mohamed Cheikh Biadillah, président de la Chambre des conseillers

Mohamed Cheikh biadillah

«Il fallait plus que les Groupes d’amitié»

Qu’est-ce qui a dicté ce 1er Forum parlementaire Maroc-France?

Nous avons estimé que les Groupes d’amitié sont importants, mais que leur production est insuffisante. Donc, nous avons pensé créer un Forum entre nos parlements respectifs avec la présidence effective des 4 présidents. Il y a déjà eu le 1er Forum maroco-espagnol qui a été organisé ici. Les deux présidents du cortès étaient présents pour la première fois ensemble, suivis de la France. C’est d’ailleurs la première fois que les présidents du Parlement français sont ensemble ailleurs que chez eux.

Quelles sont les thématiques débattues lors de ce colloque?

Nous avons eu des réunions thématiques: démocratie, mobilité, économie… Nous avons eu l’opportunité de les débattre à tête reposée et de tirer des conclusions.

Les présidents du parlement Français ont dit d’une même et seule voix qu’il y a des liens très forts. Comment est-ce que ça se concrétise sur le terrain?

Sur les plans politique, économique et social, nos relations sont excellentes. D’abord, les Groupes d’Amitié travaillent d’arrache-pied. Et ce sont les seuls groupes qui, en fait, travaillent sérieusement aussi bien en France qu’au Maroc. C’est presque des relations au quotidien qui permettent de zoomer des secteurs précis, de voir ensemble les grands dossiers et les défis communs et de les décortiquer de façon bilatérale. Dans ce genre de forums, ça a encore plus d’intérêt, parce que cela concerne et les présidents des groupes et ceux des Commissions d’Amitié et les Bureaux des deux assemblées. Finalement, c’est une véritable association de facteurs à même de permettre de rentabiliser et d’avoir une idée efficiente pour aboutir à des recommandations adéquates.

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Quel soutien du Parlement français avec ses deux Chambres concernant la cause nationale (Sahara)?

Vous avez vu que tous les parlementaires ont reproduit dans le communiqué commun la position de la France qui est pour une solution négociée. La France considère que l’autonomie élargie est une solution sérieuse et crédible qui peut permettre aux populations du Sahara de diriger leurs affaires eux-mêmes, dans la liberté et la démocratie, dans le cadre d’un Maroc uni et de la souveraineté marocaine.

SM le Roi Mohammed VI a appelé à une diplomatie effective, directe et surtout offensive, au lieu de celle défensive. Comment est-ce que cet appel royal se traduit concrètement sur le terrain?

Nous avons déjà établi un bilan de notre action diplomatique sur quatre ans. Nous l’avons présenté à tous les acteurs parlementaires à la Chambre des conseillers.

Quelles remarques?

Il y en a eu, bien entendu. Nous les avons intégrées lors d’une première réunion. Lors d’une seconde réunion, nous avons présenté le travail à ces amis qui sont dans tous les groupes parlementaires. Ils ont aussi retouché la monture finale. Nous sommes actuellement en phase préparatoire pour pouvoir redéployer notre activité diplomatique en fonction des résultats de trois années d’expérience de chaque personne à part, de chaque groupe de métier à part et aussi de chaque continent à part.

Qu’allez-vous entreprendre lors de la prochaine étape?

Bientôt, nous allons commencer par des réunions thématiques avec les parlementaires, mais aussi avec des experts, pour que les amis et conseillers parlementaires puissent avoir les outils du langage et de l’argumentation et pouvoir de ce fait trouver les moyens adéquats pour convaincre leurs interlocuteurs et leur faire comprendre les tenants et les aboutissants de ces problèmes.

Interview réalisée par MN
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Claude Bartolone, président de l’Assemblée Nationale Française

Claude Bartolone

«Nos parlements doivent réfléchir ensemble»

Vous avez donné, avec vos collègues français et marocains, le coup d’envoi à Rabat au 1er Forum parlementaire Maroc-France. Dans quel contexte s’inscrit cette rencontre, la première du genre?

C’est une bonne chose, à la fois amicale et politique. J’estime qu’il s’agit là d’un complément de la démocratie entre les Etats. Lorsque les parlementaires se rencontrent, ils sont porteurs de l’attente des citoyens qui les ont élus. Et je crois qu’ils ont encore plus de force pour faire passer des messages qui peuvent être communs des deux côtés de la Méditerranée.

Quels sont les résultats concrets de cette coopération Maroc-France dans le contexte de cette histoire d’amour entre les deux pays?

Pour parler d’amour, il faut donner des preuves d’amour. Dans le cas de la volonté qui est la nôtre de démontrer la coopération parlementaire, il faudrait renforcer le développement économique et social, réfléchir ensemble au renforcement de la démocratie et parler ensemble de ce que représente aujourd’hui le défi de la transition énergétique. C’est comme cela que les parlementaires français et marocains pourront, petit à petit, montrer aux citoyens les preuves de cette histoire d’amour entre le France et le Maroc.

Quel serait, selon vous, l’impact du projet marocain d’autonomie et de régionalisation, ce grand chantier ouvert par le Royaume?

Là, en l’occurrence, c’est un sujet sur lequel il pourrait aussi y avoir un travail laborieux avec nos amis marocains pour leur montrer ce qui a pu être la tradition d’aménagement des localités locales en France, pour qu’ils puissent puiser des idées afin de pouvoir poursuivre leur volonté d’une organisation décentralisée au niveau territorial.

Propos recueillis par M.N
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Ali Kabiri, président de la Commission des AE, de la Défense, des Affaires islamiques et des MRE à la Chambre des représentants (MP)

Ali kabiri Depute mp

«La conjoncture exige qu’il y ait plus de coopération entre la France et le Maroc»

Dans quel cadre s’inscrit le Forum parlementaire Maroc-France?

Il s’inscrit dans le cadre des relations privilégiées entre le Maroc et la France. Ce sont des relations historiques et séculaires qui n’obéissent pas aux contingences politiques. La politique étrangère de la France ne change pas avec les aléas de la politique. C’est un point fort des relations entre nos deux pays.

Quel rôle pour ces deux pays concernant le devenir du bassin méditerranéen?

C’est une politique qui s’inscrit dans le cadre de la conjoncture actuelle qui exige qu’il y ait beaucoup plus de coopération, entre la France et le Maroc essentiellement, vu le rôle que jouent ces deux Etats dans le bassin méditerranéen… Mais également dans le continent africain et principalement la région subsaharienne.

Quelle valeur ajoutée de ce Forum à la coopération Maroc-France?

Je pense que c’est une rencontre qui vient conforter un peu la récente rencontre entre les deux chefs d’Etat. La dernière visite du Président François Hollande (3-4 avril 2012) et les rapports qui sont d’un certain niveau entre les deux chefs d’Etat et leurs deux gouvernements, consolident les relations de coopération entre les deux pays dans la plupart des grands chantiers prometteurs.

Et pour ce qui est de la coopération entre les deux parlements marocain et français?

Il est naturel que les deux Parlements se mettent au dialogue concernant ces relations stratégiques et historiques qui lient les deux pays, le Maroc étant disposé à jouer pleinement un rôle dans le cadre de cette nouvelle stratégie.

Quelles sont les actions qui se réalisent entre les deux pays pour mettre à profit l’excellence de leurs relations?

Entre le Maroc et la France, comme tout le monde en a convenu pendant ce Forum, il y a une vraie et grande histoire d’amour qui se concrétise sur le terrain par plusieurs décisions et actions: l’intervention de la France pour voler au secours d’un Etat malien en grande difficulté, appuyée par le Maroc; puis au niveau des Nations Unies, le Maroc se trouvait être par bonheur président du Conseil de sécurité quand la décision de l’intervention de la France a été prise. Et il y a eu la présence de SM le Roi et du Président Français au Mali pour assister à la cérémonie d’investiture du nouveau Président malien élu; une présence qui constituait une occasion pour que nos deux Etats jouent pleinement leurs rôles respectifs au niveau de cette région.

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La question du Sahara a été présente lors de ce Forum parlementaire Maroc-France à Rabat. Quelle est la position du parlement français?

Les députés français s’alignent sur la position officielle de la France. Cette politique a été solennellement annoncée par le Président François Hollande dans son discours, ici au Parlement marocain, à l’occasion de sa visite officielle au Royaume.

Et pour ce qui est du projet d’autonomie?

L’appui français au projet d’autonomie élargie dans nos provinces du sud est une chose qui est sans ambiguïté. Nous saluons bien sûr cette position de la France, cette solution étant l’unique et la plus juste pour le règlement de ce problème créé de toutes pièces par les adversaires de notre intégrité territoriale.

Interview réalisée par MN
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Christian Cambon, président du Groupe d’amitié France-Maroc et vice-président de la Commission des AE du Sénat français

Christian cambon

«Il faut que les efforts du Maroc soient mieux compris»

Vous avez parlé d’un déficit de communication du Maroc qui fait que, dans le dossier du Sahara, le Royaume est souvent en situation d’accusation…

Je pense que le Maroc, au Sahara, a fait d’abord une proposition très courageuse de l’autonomie avancée. Il a par ailleurs fait sur place des efforts en matière de développement qui sont tout à fait extraordinaires et qu’une bonne partie du monde ne connaît pas. Je constate souvent, dans des colloques internationaux, des propos qui mettent un peu en accusation le Maroc.

Que faire pour faire connaître ces efforts et réalisations du Maroc dans cette partie de son territoire?

Je pense que les parlementaires européens et français devraient aller au Sahara pour prendre connaissance de ça, sur place.

Avez-vous été au Sahara?

Oui, j’ai fait un voyage à Laâyoune et Dakhla et j’ai eu l’occasion de voir les réalisations accomplies en matière de développement: ports de pêche, usine de dessalement d’eau de mer, cliniques, instituts de formation, etc.

Quelle appréciation de ces réalisations?

Je crois qu’il s’agit là d’une réponse à tous les détracteurs du Maroc. J’étais récemment aux Nations Unies et j’ai vu qu’il n’y avait pas que les amis du Maroc.

Quel soutien des parlementaires français et des amis pour faire connaître les grands chantiers du Maroc dans son Sahara?

Je plaide beaucoup pour que notre Forum et Groupe d’amitié fassent en sorte que ces efforts du Maroc soient mieux compris. Je pense qu’à ce moment-là, les solutions qui sont proposées par le Maroc paraîtront judicieuses, bénéfiques et véritablement concrètes pour sortir de cette affaire.

Quel impact, selon vous, du projet d’autonomie sur la régionalisation?

Je pense que les efforts qui sont faits, notamment ceux qui ont été conduits par Chakib Benmoussa (actuellement ambassadeur du Maroc à Paris), sont absolument essentiels. Le Maroc est en train de réaliser sa régionalisation avancée: un grand chantier! Les provinces du sud sont un élément tout à fait essentiel qui me semble être une bonne réponse à la problématique qui se pose dans cette région du monde. N’oublions pas ce qui vient de se passer au Mali. Si le Maroc ne faisait pas les efforts de sécurité et de sécurisation de cette région, eh bien, peut-être qu’on aurait là l’équivalent d’une Somalie et c’est ce que nous ne voulons pas. Nous sommes là pour encourager le Maroc.

Interview réalisée par MN

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Abderrahim Atmoun, président du Groupe d’amitié France-Maroc entre la Chambre des conseillers et le Sénat et président de la Commission parlementaire mixte Maroc-UE

Abderrahim Atmoun

«Il faut passer à l’offensive diplomatique»

Que représente pour vous la tenue à Rabat de ce premier Forum parlementaire Maroc-France?

Je pense que nous avons signé là une vraie réussite. Il s’agit du premier Forum, donc une première avec pour but essentiel de développer les relations franco-marocaines au sein des deux parlements. C’est très constructif pour nous, Marocains. Il y aura une deuxième rencontre qui aura lieu à Paris.

Quels thèmes abordés?

Des thèmes de haute importance tels la démocratie, la mobilité, l’immigration, la coopération interparlementaire et le développement économique, ainsi que la situation dans la région du Sahel. Il faut continuer ce genre de forums qui renforcent le partenariat entre les parlements marocains et français.

Comment comptabiliser et concrétiser tout cela?

Je pense que, pour concrétiser tous ces acquis, nous devons être le relais pour ce faire.

Avez-vous insisté sur la diplomatie parlementaire?

Il faut, comme a dit SM le Roi, passer à l’offensive diplomatique et ne plus rester sur la défensive à rendre les coups.

Comment cela se concrétise-t-il sur le terrain?

C’est ce que nous sommes en train de faire, c’est-à-dire que nous n’attendons pas que les autres déposent des amendements contre nous pour passer à l’offensive. Nous anticipons pour être capables de contrôler la situation.

Et concernant le soutien du parlement français à la cause nationale (Sahara)?

Je pense que ça a été reconfirmé, aujourd’hui, lors de ce Forum. La position de la France n’a pas bougé. C’est une très bonne chose. Seulement, il faut, passant par la France, toucher les autres pays européens.

Propos recueillis par MN

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Luc Chatel, président du Groupe d’amitié France-Maroc

Luc Chatel

«Le Forum a tenu toutes ses promesses !»

Quelle appréciation faites-vous de ce Forum parlementaire Maroc-France?

Je pense que c’est un Forum qui a tenu toutes ses promesses avec, à la fois, de vrais sujets de fond, stratégiques, qui ont été évoqués et des perspectives de coopération qu’on traite entre nos deux Parlements.

Quelle valeur ajoutée au Groupe d’amitié France-Maroc?

Je pense que ça peut structurer un peu nos travaux. Ce sont aussi des occasions de créer des rendez-vous au plus haut niveau pour partager les orientations parlementaires et fixer une ligne directrice. C’est vraiment utile.

Propos recueilles par MN

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