Sexe et longévité!

On s’est toujours demandé pourquoi nos aïeux vivaient longtemps. Enfin, un peu plus que leurs descendants qui partent très jeunes rongés par un méchant cancer, un ulcère, une hémiplégie ou une pneumonie aiguë! On s’est toujours dit qu’ils vivaient de manière saine et ordonnée. Voilà pourquoi leur vie durait si longtemps!
Mais on a souvent oublié de dire que ces gens prenaient aussi du bon temps… S’ils vivaient longtemps, c’est qu’ils faisaient aussi l’amour plus longtemps… Il n’y a qu’à juger par le nombre d’enfants qu’ils faisaient et pas uniquement à une seule femme!

De vraies machines à sexe, les mecs!… Un livre récemment publié démontre d’ailleurs que les rapports sexuels permettent de favoriser la longévité, l’acte ayant incontestablement des effets bénéfiques sur l’organisme. Selon son auteur, faire l’amour permettrait de vivre plus longtemps! L’ouvrage, intitulé «La Vie et le Temps, les nouveaux boucliers anti-âge», explique que l’acte sexuel serait un excellent moyen de se maintenir en forme et de vivre plus vieux et en bonne santé.
En premier lieu, ce serait le cœur qui en bénéficierait, notamment parce qu’il serait très sollicité pendant les rapports intimes. De plus, faire l’amour permettrait de se maintenir en forme comme toute autre activité physique, puisque l’on brûlerait en moyenne 200 calories lors de chaque rapport. Et l’auteur de préciser que l’éjaculation chez l’homme le protégerait du cancer de la prostate, avec des risques diminués d’un tiers s’il éjacule une douzaine de fois par mois.
Côté femme, la stimulation des tétons pousserait le corps à produire de l’ocytocine qui le protégerait contre le cancer du sein.
Par ailleurs, le sexe serait également bon pour l’esprit. En effet, les endorphines libérées lors de l’acte sexuel permettraient de lutter contre le stress ou les insomnies… Ah, que des bienfaits!
Vous savez donc ce qu’il faut faire si, comme vos aïeux, vous avez envie de vivre longtemps. Mais attention quand même, les sexologues arabes ont toujours dit en la matière que le manque ou la privation rendent aveugle, ainsi que l’excès! Allez-y modérément et sachez que vous ne vivrez ni plus, ni moins que ce qui vous est «écrit»…