La première fois qu’il a été question d’amazigh dans l’enseignement supérieur, c’est bel et bien à l’Université Al Akhawayne, a expliqué le ministre de l’Education nationale pour rassurer une enseignante soucieuse de l’avenir de cette langue. Devant un parterre de journalistes et d’acteurs associatifs, Rachid Belmokhtar a confié:
«C’est moi qui ai introduit l’amazigh à Al Akhawayne, sans pression, ni contrainte de quiconque, conscient que notre culture est ancrée dans la culture amazighe et conscient aussi de la place de l’amazigh à l’école».