Aujourd’hui, on parlera de «Q» et non pas de «C…». Il est question de savoir s’il y a une quelconque relation entre le QI et le sexe! Autrement dit, un QI élevé est-il synonyme de grand appétit sexuel? La réponse, il a fallu aller la chercher en Grande-Bretagne, plus particulièrement dans les prestigieuses universités «So British» que sont Cambridge et Oxford, ces vraies usines d’élites au QI trop élevé.
En effet, si ces universités sont réputées pour former les élites et être les plus prestigieuses au monde, une étude vient de prouver que leurs étudiants cultivaient un goût prononcé pour la bagatelle.
L’analyse faite par un célèbre vendeur de «sex toys» en ligne dévoile ainsi que les étudiants de ces grandes institutions ont dépensé l’année dernière plus de 11.000 euros dans des objets coquins en tous genres.
Loin derrière, ceux de l’Université de Manchester, qui tiennent la troisième place de ce classement, ont déboursé 6.300 euros.
L’intelligence aurait-elle un impact direct sur la sexualité? Pour répondre, les investigateurs se sont basés sur différents constats et témoignages d’étudiants. Conclusion: Cambridge pousse vraiment ses étudiants à travailler dur. Ce n’est donc pas une surprise que ces derniers soient ceux qui dépensent le plus pour évacuer le stress d’étudier dans une excellente université!
Et de conclure que pour ces «intellos» de luxe, le sexe n’est ainsi qu’un domaine de plus dans lequel ces accros à la performance veulent exceller. Sous l’austérité apparente des murs centenaires et des uniformes, se dissimule en réalité une grande liberté de corps et d’esprit.
Entre deux cours d’économie ou de physique quantique, les étudiants peuvent donc apprendre les techniques de bandage et les secrets du maniement de martinet. Présentés sans tabou et proposés en toute légalité, ces cours privés sont remplis d’étudiants curieux qui veulent élargir leurs horizons sexuels au même titre qu’ils enrichissent leurs connaissances. Une nouvelle matière est probablement née, mais ce n’est quand même pas une branche de spécialisation. Le fait est que ces «forts», ces «beaux» et ces «super-intelligents» veulent juste prouver qu’ils sont les meilleurs et dans tous les domaines, oubliant que beaucoup «d’abrutis» sont des «As» en la matière. Ils y ont consacré leur vie et c’est pour cela que les autres ont pu faire la différence. D’où «intelligent» reste encore loin de devenir synonyme d’«étalon» et c’est bien pour les cancres, n’est-ce pas?