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«We, the people», les trois premiers mots du préambule de la Constitution des Etats-Unis d’Amérique. Trois mots qui rappellent que Nous, le peuple, sommes responsables du monde qui nous entoure. Une responsabilité qu’assument toutes les composantes de la société.
C’est dans cet état d’esprit que les artistes de la 3ème édition de la Biennale Internationale de l’art contemporain de Casablanca, tenue sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dévoileront le 14 octobre prochain leurs œuvres qui, bientôt, prendront leur place dans l’espace urbain casablancais, ce carrefour naturel entre les cultures africaines, orientales et occidentales. Artistes marquants et engagés, venus de plus de soixante pays, ils refusent aux peuples le droit de se lamenter et les exhortent à rapprocher leurs rêves de l’action au travers d’installations, photographies, vidéos, sculptures et tableaux qui démontrent la puissance de l’art contemporain comme outil de dialogue et de partage d’idées.
Cette année marque aussi une étape importante pour la Biennale Internationale de l’art contemporain de Casablanca. Elle entre, en effet, dans le cercle très fermé des biennales d’art contemporain. Une preuve de la qualité de cet événement et de sa capacité à attirer à Casablanca commissaires, directeurs de musées et galeristes de tous les continents.
Ces dix jours seront ponctués de colloques et de workshops, afin de prolonger le dialogue entre le public et les artistes. Ainsi, du 14 au 23 octobre, le public pourra aller à la rencontre des œuvres et des artistes tout au long d’un parcours comprenant des lieux emblématiques de Casablanca.
