Quelque 75 tonnes de déchets clandestins ont été récupérées dans les bulles à vêtements en Belgique francophone pendant la période de confinement, rapportent les médias.
Entre déchets verts, pots de peinture, langes ou encore animaux morts, le « nettoyage de printemps » a un impact coûteux sur les différentes associations chargées de la gestion de ces 5.600 bulles présentes en Belgique francophone.
Si deux des trois principales associations actives dans la collecte de vêtements par l’entremise de bulles à textile ont pu maintenir leurs services en adaptant leurs stratégies de collecte et de stockage, Ofxam a, quant à elle, opté pour un service minimal, avec la fermeture de ses 600 bulles à vêtements dans le pays.
LR