La promotion de la croissance des marchés financiers africains nécessite le renforcement des financements des économies africaines. C’est en gros ce qui est ressorti de la 6ème édition du Builiding African financial markets (BAFM).
Cette rencontre, abritée par la Bourse de Casablanca, a ainsi offert une opportunité inédite de partage d’expertise et de réflexion entre les opérateurs d’une dizaine de places boursières africaines. A cette occasion, le directeur général de la Bourse de Casablanca, Karim Hajji, a indiqué que son institution est plus que jamais convaincue du rôle important des places boursières africaines dans la mobilisation des moyens de financement de la croissance du continent. Il a également souligné que le BAFM est justement une opportunité d’explorer de nouvelles voies de coopération et de fédérer les synergies pour améliorer le rôle des bourses dans le financement de l’économie africaine.
De son côté, le président de l’Association des bourses des valeurs africaines (ASEA, partie organisatrice de cet événement), a estimé que les mutations que connaît l’économie mondiale met l’Afrique face à des défis financiers auxquels elle est appelée à faire face.
Pour sa première édition en Afrique du Nord, le BAFM a réussi à regrouper, à Casablanca, un grand nombre d’acteurs des marchés des capitaux africains.
Cette rencontre, initiée sous le thème «Best practices pour le développement des marchés africains des capitaux», se positionne en une opportunité inédite de partage d’expertise et de réflexion, autour des défis soulevés par l’accentuation des besoins de financement de la croissance africaine.
HD