Ça fait sourire!

Peu de gens se sont demandés pourquoi ils ne se portaient pas mieux que le voisin! Pourquoi gardaient-ils le sourire quand l’autre était toujours de mauvaise humeur? Alors qu’on se tord à trouver une explication, certains disent que c’est tout simplement leur activité sexuelle qui leur donne «le sourire»; un sourire plus grand quand on s’en tire mieux que son voisin! Une étude américaine explique d’ailleurs que le sentiment de bonheur augmente avec l’activité sexuelle.
Intitulée «Le sexe et la poursuite du bonheur: comment la vie sexuelle des autres est reliée à notre sentiment de bien-être», l’étude s’est basée sur l’analyse de données fournies par 15.386 personnes sur leur vie et leur niveau de bonheur. En plus de l’activité sexuelle, elle s’est aussi penchée sur des facteurs tels que les revenus, l’éducation, la santé et la situation matrimoniale, pour arriver à une première conclusion: «Il y a une inflexion globale du sentiment de bonheur qui augmente avec la fréquence de l’activité sexuelle».

Le sentiment de bonheur donne ainsi l’impression d’augmenter avec l’activité sexuelle. Les personnes ayant 2 ou 3 relations sexuelles par mois sont 33% plus enclines à notifier un sentiment de bonheur plus fort que celles n’ayant pas eu de rapport sexuel au cours de l’année. Ceux qui ont une relation sexuelle hebdomadaire ont 44% de chance de signaler un niveau de bonheur plus haut. Au rythme de deux ou trois relations sexuelles par semaine, le pourcentage grimpe à 55 points. Si une personne tient un rythme de deux ou trois relations sexuelles par mois, mais est persuadée que d’autres font l’amour toutes les semaines, les chances qu’elle signale un niveau de bonheur plus élevé tombent à 14%. Malheureusement, on a tendance à se comparer à ce qui est supérieur, plutôt qu’à se représenter comme déjà au-dessus. Cependant, toutes ces représentations sont relatives, car il n’y a pas de richesse sans pauvreté, ni d’activité sans oisiveté, sexuelle ou pas! Un conseil donc: ne regardons pas trop ce que fait le voisin. Le «tberguig» est bien une tare et, si encore il est sexuel, c’est pire! Gardons donc secrètes les raisons de notre sourire…