Selon le directeur général de «Casablanca Finance City Authority», cité par le think tank anglais Oxford Business Group (OBG) dans sa dernière analyse, Casablanca Finance City (CFC) pourrait à terme contribuer au PIB annuel à hauteur de 1 à 2% et créer 80.000 emplois directs et indirects.
«CFC fait l’objet d’un intérêt croissant. Le nombre d’entreprises présentes dans la zone est passé de 10 au milieu de l’année 2013 à 33 en janvier 2014», rappelle OBG, citant à cet égard l’assureur AIG (américain) et la Société Générale (française), ainsi que des cabinets d’avocats internationaux tels que Baker & McKenzie, Duhamel Blimbaum ou encore BNP Paribas Regional Investment Company, une filiale de la banque française spécialisée dans les activités de banque de financement et d’investissement.