Animant un meeting à la Maison de la culture de Tlemcen, le candidat à la présidentielle du 17 avril, Abdelaziz Belaïd, s’est directement attaqué aux problèmes conjoncturels qui minent le Maghreb arabe et l’empêchent de se construire pour faire face aux nouveaux défis économiques et sociaux qui guettent les pays de cet espace stratégique.
«Je suis pour la réouverture des frontières avec le Maroc et je ne ménagerai aucun effort pour un règlement définitif de la question du Sahara occidental», a lancé Belaïd à l’assistance. Le président du Front El Moustakbal a aussi promis d’édifier une Algérie «développée et démocratique» à travers le principe de l’alternance au pouvoir. Mais ce sont les propos conciliants sur le Maroc qui retiennent l’attention. Ils sont si rares…