Fesse-tivité!

Le 21 juin, c’est la fête de la musique. Partout dans le monde, on organise des shows et des concerts pour fêter le premier jour de l’été et le jour le plus long de l’année dans une ambiance festive. Et chacun y va de ses moyens, son talent et son génie pour marquer ce jour…

Cette année, il a été spécialement marqué par l’idée «géniale» d’une artiste burlesque qui a fait revivre un des plus grands génies de la musique classique, Beethoven. Son choix a été porté sur l’interprétation de la neuvième symphonie… Mais il faut dire que l’artiste a osé une interprétation plutôt originale puisqu’elle a interprété avec ses… fesses! On parle bien de fesse-tivité… Le show, rapportent des témoins oculaires, était tellement ahurissant que si

Ludwig Van Beethoven était encore vivant de nos jours, il troquerait certainement sa surdité contre une cécité au regard de ce spectacle! Pas qu’il n’aimerait pas, mais c’est plutôt le pari provoquant et amusant de cette artiste burlesque, qui a osé de la sorte revisiter sa neuvième symphonie avec ses fesses, qu’il trouverait plutôt de mauvais goût!

Car, au-delà de la critique, l’artiste, tel un chef d’orchestre, vit le rythme de la musique à la perfection, notamment avec cette partie de son corps bien en face du public…

Poussant la coquetterie jusqu’au bout, elle a orné le bas de son dos d’un joli petit nœud papillon, en guise de clin d’œil coquin aux chefs d’orchestre. Une façon de désacraliser la musique classique qui, à son goût, méritait un peu plus de légèreté et un côté sexy sûrement. La prestation semble amuser et captiver l’audience en tout cas. Mais il n’est pas certain que sa performance fasse date dans l’histoire de la musique et marquer d’une quelconque empreinte ce jour fesse-tif !