Nezha Lahrichi, professeur universitaire, ancienne présidente de la Smaex et ex-présidente du Conseil national du commerce extérieur, rappelle que l’enjeu du taux de change d’un dirham flexible est de rester stable; une stabilité assurée en cas de besoin par les interventions de Bank Al-Maghrib, limitée à 20 millions de dollars par jour.
Or, depuis l’entrée en vigueur de la réforme, on observe une quasi-stabilité du dirham par rapport aux principales devises internationales, ce qui signifie que le risque de volatilité qu’aurait pu induire l’élargissement de la bande de fluctuation ne s’est pas produit jusqu’à présent.
HD