En dépit de la crise financière mondiale et européenne, «les flux des IDE au Maroc sont restés puissants, plus spécialement dans les secteurs de la banque-finance, du tourisme et de l’immobilier», a souligné l’ancienne secrétaire d’Etat française au Commerce extérieur,
Anne-Marie Idrac. Le stock d’IDE atteint aujourd’hui près de 50 milliards d’euros. «A la différence d’autres pays africains leaders pour l’accueil d’IDE, cette accumulation ne doit quasiment rien à l’exploitation des énergies fossiles, mais résulte, depuis le milieu des années 1990, des choix de politique et économique », a également fait observer Idrac.