Pour le ministre de l’Enseignement supérieur, Lahcen Daoudi, le problème aujourd’hui est que c’est la langue qui véhicule le savoir. Or, les pauvres ne maîtrisent pas le français. On évoque les pauvres et les riches du Maroc. «Je dis qu’il faut dépasser cette façon de voir et aussi le fait que les Marocains estiment que si on n’est ni médecin, ni ingénieur,
c’est que nous n’avons pas réussi nos études», a estimé Daoudi. Et d’ajouter que le Maroc a besoin de chimistes, d’anthropologues… Pour ce, il faut encourager les Facultés des sciences.