«Entre nous, je préfère qu’on fasse ça ici, plutôt que dans un hôtel»! «Je vais vous faire découvrir quelque chose de… vraiment excitant»!… C’est avec ces mots qu’une vedette recevait chez elle un jeune journaliste! Puis, durant un long moment, les deux ont engagé une discussion remplie de connotations sexuelles.
La vedette a dit, entre autres: «C’est un truc tout nouveau qui va plaire aux amateurs. Je vais vous montrer. Tout d’abord, j’adore imaginer ce qui va se passer juste après la mise en bouche. Ce petit moment d’attente, juste avant cette explosion buccale. Vous allez voir, on va essayer tout de suite». Bien heureux d’avoir été choisi pour cette interview, le jeune journaliste a commencé à se déshabiller. «Avant qu’on commence, il faut savoir que l’allure générale est très importante et que mes critères de sélection principaux sont le toucher et le goût. […] Mais ce que je préfère par-dessus tout, c’est leur taille. J’adore les petits»…
Le jeune homme commençait déjà à se voir s’envoyer en l’air avec cette star… Malheureusement pour lui, elle évoquait uniquement des cornichons dont elle allait faire la publicité de la marque, avant de se retourner et s’apercevoir qu’il y a eu un léger malentendu.
L’omniprésence du sexe dans les publicités fait aujourd’hui qu’entre la pub et le sexe, c’est une très grande histoire d’amour. Effectivement, dans de nombreux spots et affiches publicitaires, les connotations sexuelles sont omniprésentes. Entre quiproquos ou messages subliminaux, la sexualité est au cœur du marketing. On pense alors en premier-lieu aux publicités d’une marque de déodorant dont les produits donneraient un pouvoir de séduction incomparable. Il y a également eu la fameuse publicité d’une boisson à base de pulpe d’orange ou bien encore cette autre boisson où Uma Thurman lançait: «J’aime le…, avec des inconnus»… Tout ça pour dire que notre ami le journaliste devrait revoir ses leçons lexicales pour mieux apprendre à faire la différence entre «corps», «nichons» et «cornichons»!