Nos aïeuls préhistoriques, les hommes surtout, étaient des insatiables du sexe. En effet, une équipe de chercheurs britanniques vient d’élucider la vérité sur la vie sexuelle des hommes de la préhistoire. Après avoir procédé à une observation minutieuse de la taille de phalanges fossilisées des hommes de Néanderthal et de l’homme de l’époque contemporaine, ils ont pu tirer la conclusion suivante: la testostérone a un effet sur la longueur de l’annulaire; car l’annulaire des hommes préhistoriques a été plus long que celui de nos congénères masculins d’aujourd’hui. Cela veut dire, selon eux, que chez les hommes de la préhistoire, la testostérone était secrétée en grande quantité dans leurs organismes. Du coup, elle influençait profondément leurs comportements sexuels: leurs rapports sexuels étaient plus fréquents et aussi bestiaux que ceux des hommes d’aujourd’hui. Leur insatiabilité du sexe doux les incitait à conquérir beaucoup de femelles (à remarquer que la polygamie ne date pas d’aujourd’hui!). Et ce n’est pas tout. L’étude a montré aussi que les foetus exposés à une grande charge de testostérone démontraient plus tard des comportements plus agressifs et plus axés sur la sexualité que les autres foetus. Cela démontre l’importance de l’hormone mâle dans la constitution physique et psychique des êtres humains. Certains pensent que plus l’homme évolue, moins il sécrète de la testostérone. A les croire, on peut se permettre de poser une question légitime: d’ici 10 ou 20 siècles, quel genre d’homme y aura-t-il?
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