Parmi les alliés des Etats-Unis, Londres toujours dans l’UE pour quelques heures, le plus positif, qualifiant le plan de «proposition sérieuse» qui «pourrait constituer une avancée positive».
Le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell, s’est contenté d’indiquer que l’EU allait «étudier et évaluer les propositions avancées», tout en réaffirmant son engagement «ferme» en faveur d’«une solution négociée et viable à deux Etats». Cette formule de «solution négociée et viable à deux Etats, acceptable par les deux parties» a été reprise par le chef de la diplomatie allemande, Heiko Maas.
La réaction de la France ne s’est ainsi pas fait attendre, avec une prise de position qui reste fidèle au discours habituel, à savoir une solution à deux États. Paris «exprime sa conviction que la solution des deux États, en conformité avec le droit international et les paramètres internationalement agréés, est nécessaire à l’établissement d’une paix juste et durable au Proche-Orient», a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, mercredi 29 janvier.
La France a ainsi indiqué qu’elle continuerait à œuvrer en ce sens «avec les États-Unis, ses partenaires européens et tous ceux qui peuvent contribuer à la réalisation de cet objectif».
PZ