Premier assureur agricole du marché marocain, la Mamda est aujourd’hui une référence en la matière, tant par son activité sur le terrain que par ses résultats qui connaissent, depuis 2017, une fulgurante ascension.
En effet, au 31 décembre 2018, la situation financière MAMDA RE fait ressortir un montant de capitaux propre et assimilés 611.104.697,31 DH, dont un bénéfice net de 3.199.941,66 DH.
A eux seuls, ces deux chiffres témoignent de la performance de l’assureur qui a réussi un exercice 2018 dans le vert et viennent confirmer le positionnement de Mamda, comme premier assureur agricole du Maroc qui, depuis qu’il s’est associé à Partner Re, leader mondial sur les activités agricoles et à MCR (Mutuelle centrale de réassurance française) et devenu «Mamda RE», a obtenu le statut Casablanca Finance City (CFC).
A travers cette joint-venture des trois opérateurs leaders en assurance, Mamda projette, depuis CFC, de développer des activités d’assurance et de réassurance agricoles dans les pays africains, favoriser la croissance des capacités de souscription continentale et, ainsi, soutenir le développement économique du continent africain.
Et ce n’est pas tout. Au Maroc, l’assureur a également pensé aux filières. Et, afin d’offrir des produits d’assurance adaptés aux filières agricole, avicole et équine, MAMDA a signé trois conventions de partenariat avec le groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM), la FISA et la SOREC.
La 1ère convention concerne les produits d’assurance accompagnant les financements accordés aux éleveurs. Ces produits d’assurances couvrent l’ensemble de la chaîne bovine et les besoins de l’éleveur, comme la mortalité de bétail, la maladie, l’hospitalisation et le décès de l’éleveur, ainsi que sa retraite.
La 2ème convention, signée avec la Fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA), offre une panoplie de produits d’assurances adaptés, tels que l’incendie des couvoirs, les maladies et la mortalité avicole, ainsi que d’autres produits d’assurances spécialement conçus pour garantir les investissements du professionnel du secteur avicole et la protection des salariés.
Enfin, la 3ème convention, signée avec la Société royale d’encouragement du cheval (SOREC), vise à sensibiliser les acteurs de la filière équine à l’assurance agricole, notamment l’assurance des chevaux et améliorer le taux de pénétration de l’assurance agricole au niveau de la filière équine, de la santé et du bien-être du cheval.
Autant d’actions et sur différents fronts qui illustrent bien les performances de l’assureur agricole par excellence qui compte, selon ses prévisions, continuer sur sa lancée, afin de réussir davantage durant l’exercice en cours et s’en sortir avec de bien meilleurs résultats.
HD