Maroc-Touaregs L’Algérie s’agite

Priere du vendredi roi du maroc et chef mnla marrakech fevrier 2014

Décidément, l’Algérie ne cesse de manifester son animosité envers le Maroc. Rien en réalité n’explique cet acharnement basé essentiellement sur une affaire qui est loin d’être la sienne, en l’occurrence l’affaire du Sahara à propos de laquelle elle fait tout pour s’y immiscer.

A côté, Rabat continue de tendre la main à Alger, l’appelant à élaborer un mode de vie en commun et de cohabitation qui respecte les règles du bon voisinage, l’histoire, la langue et la religion communes aux deux pays. En réponse, l’Algérie persiste et agit de manière à ce que cet état des lieux perdure, bien sûr dans l’intérêt de ses commandeurs et de personne d’autre. Ceux-ci semblent faire d’un adage marocain très répandu, «le minaret s’est effondré, pendez le barbier» (Tahet assamaâ, aâlqou al-hajjam), la base de sa diplomatie et du développement de ses relations avec le Maroc.
Il y a lieu de dire que cette agitation a bien des raisons. Non parce que le Maroc fait quoi que ce soit pour l’attiser, mais c’est surtout à cause de la hargne des voisins qui n’arrivent pas à comprendre comment ce même Maroc continue sur sa lancée, se développe, se modernise et se consolide tant à l’échelle nationale qu’à celles locale, continentale et internationale. Alors qu’eux s’enlisent dans des problèmes à ne pas en finir tels que cette incapacité de trouver un président digne de ce nom, d’où la nouvelle candidature de Bouteflika (pour un quatrième mandat), d’instaurer un réel régime démocratique en Algérie, de gérer les affaires internes des minorités et, récemment, de cerner les événements de Ghardaya…
Il est bien connu au Maghreb que «le dromadaire ne remarque que la bosse de son semblable, mais jamais la sienne». Voilà ce que fait justement Alger qui ne voit au Maroc que ce qui est de nature à la rendre plus hystérique.
En effet, c’est une hystérie manifestée par des actes on ne peut plus vils et incongrus tels l’appel au maintien de la fermeture des frontières, l’expulsion vers le Maroc de réfugiés syriens, la traître guerre des psychotropes dont l’Algérie inonde le marché marocain dans le but de détruire sa jeunesse et, tout dernièrement, le franc appel à rompre officiellement les relations diplomatiques avec le Maroc! Cependant, il faut voir un peu ce qui se passe vraiment au Maroc et comment, en toute quiétude et confiance, le Royaume déjoue les manigances algériennes qui visent sa stabilité qu’on lui envie tellement à côté.

La goutte qui a fait déborder le vase

Le Roi se déplace en Afrique, l’Algérie grogne. Il va aux Etats-Unis, elle fait tout pour diminuer l’importance de cette visite au sommet, dont les retombées sont bénéfiques pour le Maroc -comme composante du Maghreb- et pour l’ensemble de la région. Et quand le Souverain visite les pays du Golfe, Alger tente de se montrer plutôt comme la «grande» puissance du Maghreb. Et, tout récemment, Sa Majesté reçoit le SG du MNLA et voilà que le voisin de l’est enrage!
En effet, Sa Majesté Mohammed VI a reçu, Bilal Ag Chérif, Secrétaire général du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA), accompagné du porte-parole du Mouvement, Moussa Ag Attaher. Cette audience s’est inscrite dans le cadre des efforts soutenus et permanents de Sa Majesté en vue d’instaurer durablement la paix et la stabilité dans ce pays frère et de contribuer à un règlement de la crise malienne et ce, depuis son déclenchement en janvier 2012. A l’occasion, le Souverain a réitéré le souci constant du Royaume du Maroc de préserver l’unité territoriale et la stabilité de la République du Mali, ainsi que la nécessité de contribuer à une solution et à un compromis qui permettraient de lutter contre les mouvements intégristes et terroristes qui menacent aussi bien les pays du Maghreb que la région du Sahel et du Sahara et de favoriser le développement et la dignité du peuple malien, dans la concorde entre l’ensemble de ses composantes.
Sa Majesté le Roi, dont l’engagement dans la lutte contre la violence, l’extrémisme et le terrorisme qui menacent la région du Sahel et du Sahara n’est plus à prouver, a ainsi encouragé le MNLA à continuer de s’impliquer dans le cadre de la dynamique régionale initiée par l’Organisation des Nations Unies et la CEDEAO, selon une approche réaliste et efficiente à même de permettre de parvenir à une solution définitive et durable de la crise actuelle.
Considérant les liens historiques avec la République du Mali et l’intérêt particulier que Sa Majesté porte à la promotion et à l’approfondissement des relations de fraternité, de solidarité et de coopération qui unissent les deux pays, le Souverain a également réitéré la volonté constante du Maroc de continuer à œuvrer pour parvenir à une solution de la crise malienne. Mais vue d’Alger, cette visite entre dans le cadre «des campagnes de diabolisation de l’Algérie». Du moins, c’est ce que dit la presse, oubliant que le Maroc à bien d’autres chats à fouetter que de s’intéresser à ce qui se manigance à côté. Ce qui est hilarant, c’est de lire sur les pages du journal algérien «L’Expression» des propos tels que «la stabilité au Mali est avant tout une préoccupation commune autant pour Bamako que pour Alger», sans préciser vraiment comment, ou encore: «On est en droit de se demander dans ce cas ce que représente la compassion tardive portée par Mohammed VI à l’ensemble de la composante du peuple malien» (sic!). Comme si cet intérêt est né d’hier!

Issue de la «bey’a» et pas des urnes

Parce que Sa Majesté remplit bien sa fonction de Roi, les voisins ne s’attaquent pas seulement à son pays ou à son régime, mais directement à lui. Passer outre les déblatérations dénuées de toute vérité et de tout sens envers la personne du Roi, aujourd’hui, nos voisins sont devenus des devins qui peuvent même prédire ce à quoi Sa Majesté pense et ce qu’il compte faire! D’où cette dernière trouvaille d’un site de «des-information» algérien, dénommé «algérie-dz.com» qui titre: «Le roi du Maroc vote Abdelaziz Bouteflika»!
A la lecture de cet article écrit par quelqu’un qui, semble-t-il, est incapable de dire à son président ce qu’il pense, comme beaucoup de ses semblables, on comprend l’attitude adoptée aujourd’hui envers le Maroc par les voisins algériens et encore plus la raison de leur haine.
«Même si officiellement le roi Mohammed VI du Maroc ne semble pas fan du président Abdelaziz Bouteflika, notamment à cause de la position algérienne ferme sur le Sahara Occidental, le roi du Maroc soutient certainement une candidature de Bouteflika pour un 4ème mandat et son maintien comme président de l’Algérie». Bien sûr, l’affaire du Sahara est mise en avant comme si elle les concernait… Le site relate la raison et c’est là où l’on ressent qu’outre tout autre objet de convoitise, ces gens en veulent au Maroc parce qu’il a un Roi jeune et dynamique. Ainsi, écrit-on, «la raison du soutien du roi du Maroc à un 4ème mandat de Bouteflika est simple. En tant que président malade depuis plusieurs années, hospitalisé plusieurs fois en France et qui a notamment passé l’année 2013 à se faire hospitaliser en France et à se reposer à El Mouradia…, le président Bouteflika plombe l’image de l’Algérie qui est vue sur la scène internationale comme étant un pays stagnant, présidé par un dirigeant vieux et malade qui n’est ni physiquement, ni mentalement apte à assumer ses responsabilités de président de la république». Et ces Algériens, jusqu’à aujourd’hui incapables de hausser le ton et de crier «Bouteflika, dégage!», s’en prennent au Roi du Maroc à qui, lit-on encore, «ce déficit d’image de l’Algérie profite» et lui permet ainsi de «promouvoir plus facilement le Maroc sur la scène internationale comme étant un royaume dirigé par un roi jeune et dynamique». Comme si le Maroc avait forcément besoin d’évincer l’Algérie pour se mettre au-devant de la scène internationale!
Il y a lieu de rappeler qu’il s’agit d’abord d’une fausse comparaison et qu’il n’y a nullement lieu de rivalité que le site souligne en ces termes: «L’élection d’un président jeune, dynamique et compétent en Algérie sera certainement une mauvaise nouvelle pour le roi du Maroc, car elle permettrait à l’Algérie de se moderniser et de consolider son leadership au Maghreb en particulier et en Afrique en général».
Un jeune président pour l’Algérie sera le bienvenu. Encore faut-il que les Algériens s’arment de courage pour mettre fin à la tyrannie de leur «malade» de président et de son clan et qu’ils le crient haut et fort sans se cacher derrière d’autres.
Quoi qu’il en soit, il s’agira toujours d’un homme issu d’une volonté populaire et démocratiquement des urnes -si démocratie il y a réellement- et d’un Roi reconnu en tant que tel par la «bey’a» (allégeance) qui le lie à son peuple.

Formation : Lutte contre le trafic illicite de biens culturels

Hamid Dades

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Les relations diplomatiques menacées!

Farouk ksentini

Pas si menacées que ça! Il ne s’agit pas, en réalité, d’une mince affaire qui peut être réglée sur un coup de tête. Mais c’est l’appel à cette rupture et la personne dont il émane qui posent problème. Et voici comment.

Le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), Farouk Ksentini, a bien appelé à «la rupture des relations diplomatiques» avec le Maroc. Il n’a trouvé d’argument pour convaincre que de dire que «cette décision n’aura pas d’impact sur l’Algérie».
Ce Maroc, semble-t-il, gêne aujourd’hui tout le monde en Algérie, même les pseudo-défenseurs des droits de l’Homme censés se doter de recul et de clairvoyance, avant de porter à tort des jugements infondés ou de faire des déclarations aussi importantes. Se disant, dans une déclaration publiée par le quotidien Le Temps d’Algérie, «scandalisé par l’attitude du régime marocain concernant la question des familles syriennes refoulées par Rabat vers les frontières algériennes», le responsable algérien a souligné qu’il y voyait «une énième provocation» de la part de Rabat. Il a ainsi recommandé le rappel de l’ambassadeur algérien au Maroc et l’expulsion de l’ambassadeur du Royaume à Alger.

Mais qui nourrit la haine, M. Ksentini?

Avant d’appeler à l’application des plus sévères méthodes -allez savoir lesquelles!- et d’estimer, encore une autre fois à tort, que «c’est le régime marocain qui nourrit de la haine contre l’Algérie», ne fallait-il pas se montrer plus posé à l’égard d’un pays «frère» et de l’appeler à la raison? C’est agir en diplomate digne de ce nom, au lieu d’agir comme «un éléphant dans un magasin de porcelaine»… Ou encore comme un «soulard dans les rues de Casablanca»… Autant de descriptions dont a usé le «noble» diplomate algérien pour décrire l’attitude du Maroc quant à l’affaire des réfugiés syriens!
Un diplomate chargé de la promotion et de la protection des droits de l’Homme qui n’est pas en mesure de voir clairement que, dans toutes ses actions, le Maroc ne vise qu’à vivre en paix avec son voisin, à normaliser les relations bilatérales et à agir en commun pour le bien des deux pays et de au-delà de toute la région… Un responsable des droits de l’Homme qui, en dépit de toute la bonne foi et les bonnes intentions du Maroc, ne trouve autre chose à dire que de le traiter d’«ennemi»… Et de minimiser l’action et les décisions du pouvoir de son pays en n’y trouvant pas de similitudes avec celles de Houari Boumediène, notamment en 1975. Cette sortie du sieur Ksentini fait partie du «jeu» algérien de sauter sur toute occasion pour incriminer le Maroc et «diaboliser» son rôle et son action dans la région du Maghreb et en Afrique et mettre sur la table l’affaire du Sahara que le président du CNCPPDH, passant du coq à l’âne, a encore ressortie en soulignant: «Le régime marocain joue la carte syrienne pour détourner l’attention de l’opinion publique marocaine face à la perte de points dans le dossier du Sahara occidental»!
C’est plutôt pour noyer le poisson que Ksentini a sorti cela, s’étant peut-être rendu compte qu’un responsable et néanmoins défenseur des droits de l’Homme n’est pas censé avoir des ennemis et encore moins quand il s’agit d’un pays frère.

Inédit : «Les Jeudis de concertation de Salé»

Le revers de la médaille

En clair, Ksenteni s’est fait doubler par ses propres propos. Etant un proche du régime algérien, il croyait avoir le feu vert pour tout dire, ce qui n’a finalement pas été le cas!
L’objectif visé par une telle incorrection n’a pas été atteint. Même les commentateurs les plus hostiles au Maroc n’ont pas épousé la thèse de monsieur droits de l’Homme.
Et c’est dans la presse encore que cette attitude a été ressentie. Le quotidien arabophone «Sawt Al-Ahrar», organe du FLN (parti de Bouteflika), a ainsi écrit: «Nous n’allons pas dire la même chose que Ksentini sur la rupture des relations avec Rabat, car nous croyons que la diplomatie requiert de la sagesse, davantage de patience et d’attention à la volonté du régime marocain d’entraîner l’Algérie dans son terrain…». Bien lu, ce passage montre bien que Ksentini n’a ni la sagesse ni la patience que requiert la diplomatie! Les journaux francophones, «Le jeune indépendant» et «Le Quotidien d’Oran», ont clairement exprimé leur désaccord avec l’appel à la rupture des relations diplomatiques préconisée par une personne censée faire preuve de pondération. «Comment le représentant d’une commission aussi prestigieuse que celle de la promotion et de la protection des droits de l’homme peut-il tout à coup choisir la voie du radicalisme à l’endroit d’un pays tiers? A-t-il évalué les fâcheuses conséquences que cela suppose pour les deux peuples?», s’est interrogé un éditorialiste du «Jeune indépendant».
En filigrane, le commentateur accuse Ksentini de vouloir, par ses excès dans le ton, déclencher un élan fédérateur autour de Bouteflika en assurant que le jeu de la diversion n’a jamais servi la démocratie, surtout que la rupture des relations, souligne-t-il, «ne s’impose pas en ces temps de crise régionale et à la veille de l’élection présidentielle en Algérie qui exige la sérénité». Autrement dit, c’est bien l’Algérie et son régime qui profitent aujourd’hui du maintien de ces relations.
Quant à l’éditorialiste du «Quotidien d’Oran», il a jugé «déplacé» et «incongru» l’appel lancé par Farouk Ksentini, estimant que «la gestion froide et sans excès des tensions avec le Maroc par Ramtane Lamamra (ministre des Affaires étrangères) est suffisante et bonne» en se passant «volontiers des discours bellicistes», a-t-il écrit. C’est dire que le héro de cette «guerre froide» que l’Algérie est en train de mener contre le Maroc est bien l’actuel ministre des Affaires étrangère et c’est une reconnaissance qui émane d’une presse bien hostile au Maroc. Il faut comprendre que tout est guerre pour l’Algérie, mais attention cependant à des actes qui risqueraient de «décrédibiliser» son action, dont le discrédit demeure bien dissimulée à la communauté internationale!

HD
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Appel
Les «élus» algériens font l’aumône au Polisario


Une lettre signée par le vice-président de l’assemblée populaire nationale (APN), parlement de l’Algérie, a été distribuée aux «députés» désignés par le pouvoir, les appelant à verser 10.000 dinars de leur salaire au Front séparatiste du Polisario.
Selon le site algérien tamurt, le motif invoqué par les autorités algériennes, qui font la manche au nom du Polisario, est que le Front de Mohamed Abdelaziz fait face à une crise financière.
Tamurt eut ce commentaire: «Tout le monde sait combien de millions de centimes le pouvoir algérien injecte dans les comptes et les caisses de cette organisation créée de toutes pièces par les services secrets algériens rien que pour perturber le Maroc et créer un émirat dans le Nord-Africain».
«L’Algérie continue d’exercer son chantage contre le Maroc», souligne tamurt, qui précise qu’Alger persiste dans cette politique «au lieu de procéder à un rapprochement avec Rabat et d’atténuer les tensions entre les deux pays frères».

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Réfugiés syriens
L’Affaire en question


Le Maroc avait déploré la situation dramatique des réfugiés syriens refoulés par l’Algérie, dont des femmes et des enfants. Les autorités algériennes avaient en effet refoulé un groupe de réfugiés syriens vers le territoire marocain, une accusation qu’elles n’ont pas tardé à nier.
L’information a cependant été confirmée par les autorités marocaines via un communiqué du ministère de l’Intérieur. «Pour la seule période allant du 26 au 28 janvier 2014, les autorités algériennes ont refoulé 77 ressortissants syriens, dont 18 femmes et 43 enfants (certains sont âgés de moins de deux mois)», affirme le ministère qui souligne que les autorités marocaines ont relevé «la multiplication ces derniers temps» des opérations de refoulement de réfugiés syriens (comme les Subsahariens par le passé) par les autorités algériennes vers le territoire marocain à travers les frontières est du Royaume.
Le ministère souligne dans son communiqué: «Tout en déplorant la situation dramatique de ces réfugiés, le Royaume du Maroc a élevé des protestations officielles auprès des autorités algériennes contre ces opérations de refoulement contraires aux règles de bon voisinage constamment prônées par le Royaume du Maroc».
Notons qu’à l’arrivée du premier groupe, les réfugiés ont reçu une aide alimentaire et un soutien moral de la part des autorités marocaines. L’un d’eux avait déclaré avoir passé trois jours en Algérie sans trouver de quoi subvenir aux besoins de sa famille et qu’ils ont été contraints de passer la nuit à la belle étoile par un temps glacial.
Or, les autorités algériennes avaient totalement nié ces faits affirmant que les gardes frontières n’avaient fait que «refuser l’accès sur le territoire national» à des «ressortissants syriens refoulés par les autorités marocaines»!

HD

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3 comments

  1. « culmeta » mais réveille toi! depuis quand l’Algérie est une démocratie? pense tu qu’une démocratie peut accueillir 4 fois le même président ou plutôt dictateur?

  2. apprenez de la démocratie algérienne, quant a ses possibilités elle n´est plus a la portée du Maroc dans tout les domaines, consultez le CIA factbook et après vous décidez, la jalousie vous enfonce a commettre des erreurs,que dieu protege emir el mouminion pour ses esclaves… vive lÁlgérie qui donne l´occasion au peuple de choisir celui qui gouverne le payson s´en fout du Mali ou du reste on les aide bien avant vous et s´ils choisissent malc´est leur problèmes, nous avons les moyens économiques et militaires et on rigole le Maroc ce nñ est que l´amant non aimé de la France…

  3. Bonjour, quand le marchera t il prévaloir que la démocratie y a été profonde alors même que toute l Europe n était que feodalite servage et esclavage. Quand ferons nous prévaloir que nos BYE3À sont la manifestation de notre démocratie millénaire et de nos référendums annuels. Il est temps de réclamer nos droits à nos particularismes et les faire valoir dans les principes d un droit international qui 4été encore à écrire. Dans le cadre des conventions internationales nos juristes doivent en trouver justification et établir notre droits, nos droits. Aux français le camembert aux marocains les bye3as annuelles des mandés .

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