Le numéro vert, mis en place il y a près d’un mois par le ministère de la Justice pour dénoncer les corrompus, commence à faire tomber des têtes. Ses premières «victimes» sont trois individus arrêtés en flagrant délit grâce à une action coordonnée par le Parquet, la PJ et les dénonciateurs. A Casablanca, la police judiciaire a ainsi arrêté un fonctionnaire de l’administration des Douanes au moment où il percevait une enveloppe de la part de la patronne d’une société. Cette dernière, qui avait simplement demandé des documents administratifs -tout ce qu’il y a de légal!-, s’est vue en effet réclamer un pot-de-vin. Sauf qu’avant de remettre l’argent au fonctionnaire, elle a appelé le numéro vert. Il ne restait plus alors au Parquet qu’à coordonner avec la police judiciaire pour passer à l’action.
Encore, le 6 juillet à Meknès, le président de la commune de Dkhissa (élu sous les couleurs du Mouvement Populaire) a été pris la main dans le sac. Il voulait soutirer 10.000 DH à un MRE, un entrepreneur, pour sceller le contrat de réfection d’une chaussée. La troisième affaire est à Casablanca: un moqaddem a demandé 10.000 DH pour fournir des documents officiels à un citoyen…
Assurément, ce numéro vert sera encore plus utile dans la lutte contre la corruption, ce fléau qui gangrène.
Nous sommes victimes d un complot au niveau des tribunaux à Taza, tout est fait pour aboutir à un jugement injuste mais grave ! on dirait que les juges à Taza defiaient tout le monde et n ont peur de rien.
Nous avons tout les documents nécessaires pour prouver les contradictions avec des jugements contre nous.
On se plaint auprès du ministère de justice et nous gardons espoir à ce qu une enquête soit ouverte et que la vraie justice soit faite.
On sait pas encore à qui s adresser en particulier pour revoir notre cas et merci d avance de nous aider à benificier de la vraie Justice .
bien cordialement.