Dernièrement, un article paru sur un journal relatait toutes les possibilités, les moyens médicamenteux et autres pour offrir du volume aux fesses de jeunes filles désireuses d’être vues ou draguées une fois dans la rue!
Draguer n’était justement pas l’intention d’un jeune homme giflé et humilié dans la rue par une jeune fille qu’il suivait sur une longue distance… Gifle, insultes, injures… La totale quoi, avant que n’arrivent les agents de police qui l’embarquent pour harcèlement sexuel.
Pour se défendre, il n’a cessé de répéter «je ne faisais que lire, je ne faisais que lire». Face à ce délire, les policiers mettent dans leur rapport qu’il était aussi soul…
Le jeune homme était en fait une simple victime. Victime, lui? Mon œil !
Oui, en fait, victime de ses yeux qui ont l’habitude de lire partout, même quand c’est écrit quelque part où on ne s’y attend pas… Victime aussi du marketing fessier, découvert et imaginé par une agence en Nouvelle-Zélande pour faire de la publicité à une marque de vêtements à moindre frais tout en étant créatif et original. Ils font de la pub sur les fesses des jeunes femmes! Cette campagne de street-marketing organisée est en effet aussi redoutable d’efficacité qu’originale.
Car la marque a tout simplement fait apposer sur les bancs, sièges de centres commerciaux et autres arrêts de bus des quartiers en vogue de la ville, des plaques de métal contenant des slogans publicitaires venant ainsi s’incruster sur la peau des jeunes fashionistas portant des minishorts ou des jupes lorsqu’elles s’assoient un moment dessus!
Ainsi, celles-ci se baladent sans le savoir, un long moment avec le message suivant incrusté sur leurs fesses: «Minishorts en solde chez Superette». Une campagne de pub vraiment marquante! Du moins elle l’est pour ce jeune qui ne voulait «vraiment» que lire…