L’examen des problématiques liées à la forêt d’arganier, au danger du sanglier et à la transhumance pastorale a été au centre d’une rencontre tenue à Agadir avec des représentants du tissu associatif de la région de Souss-Massa.
La réunion s’est ainsi focalisée sur «les différents problèmes posés actuellement et qui ont fait l’objet de rencontres au niveau national, afin de passer en revue les moyens d’assurer la mise en œuvre efficiente de l’approche convenue pour y trouver des solutions».
Selon la wilaya d’Agadir, les sujets évoqués portent sur l’organisation de l’activité de pâturage, la protection des habitants et leurs biens contre le sanglier, la préservation des propriétés et la protection des ayants droit. L’accent a été mis à cet égard sur l’importance de mettre en œuvre les initiatives à même de répondre aux revendications, dans le cadre d’une «approche concertée et de la confiance mutuelle».
Ces questions avaient d’ailleurs fait l’objet d’une réunion, tenue à Rabat par le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Aziz Akhannouch, dédiée à l’examen des moyens de mettre en œuvre la loi 13-113 relative à l’organisation de la transhumance pastorale.
HD