A la veille de l’expiration de l’ultimatum que lui a adressé la branche officielle d’Al-Qaïda (le Front al-Nosra) et les autres groupes rebelles, l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) s’était retiré d’au moins cinq localités de la province d’Alep dans le nord du pays où il sait qu’il aura du mal à se défendre en cas d’offensive.
Ses combattants se sont retranchés tout près de la province de Raqa.
Le Front al-Nosra a menacé d’expulser son adversaire de Syrie et même de le combattre en Irak, alors que des combats sanglants opposent déjà depuis des semaines ces deux ex-alliés contre le régime de Bachar Al-Assad.
Selon un expert des mouvements salafistes et djihadistes, Romain Caillet, les sites jihadistes ont annoncé que le porte-parole de l’EIIL, Abou Mohammad al-Adnani, devrait répondre «dans les prochains jours» à cette proposition. M. al-Adnani fait figure de dur parmi les durs de l’EIIL, ce qui laisse peu de chances à un accord. Si al-Nosra et l’EIIL sont tous deux issus de la branche d’Al-Qaïda en Irak, leurs relations se sont détériorées ces derniers mois. Les combats, voitures piégées et exécutions entre factions rebelles rivales ont causé la mort de 3.300 personnes depuis le 3 janvier, selon l’OSDH.
L’EIIL est haï par le reste de la rébellion à cause de ses méthodes brutales à l’encontre des civils et son refus de coopérer avec les autres groupes dans la lutte contre le régime d’Al-Assad.
c’est une catastrophe pr la communaute musulmans ds le monde entier par pitié votre comportement les homme libre musulman ne vs plus venire ds les terre de jihad est sa pr le comportement de certains responsable du jihad pr l’eill doit se soumettre o ordres de zawaihi point final c lui le patron personne d’autre