La rançon, versée semble-t-il pour libérer les 4 Français pris en otage en septembre 2010 par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), ne l’a pas été par l’Etat français, mais plus probablement par les employeurs des anciens captifs, Areva et Vinci. C’est ce qu’ont affirmé à l’AFP des sources proches des …
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