Le roman de Mohamed Berrada “Lettres d’une femme disparue” (Rassael Min Imraa Mokhtafya), signé jeudi à Kénitra, est un plaidoyer contre les stéréotypes réducteurs tant préjudiciables à l’effort d’émancipation de la gente féminine. Paru aux éditions “Le Fennec” (200 pages), l’ouvrage remet au cœur du débat l’irrésistible envie de s’affranchir …
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