Amnesty International et le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) avaient réclamé la «libération immédiate et sans conditions» de deux jeunes hommes arrêtés, la veille de l’élection présidentielle du 17 avril dernier. Les deux ONG avaient dénoncé «le caractère arbitraire de leur détention et des chefs d’inculpation qui pèsent …
Lire la suite »