Israël se sert de l’affaire pour accroître la pression sur les ravisseurs de trois jeunes en Cisjordanie, accusés par le président Mahmoud Abbas de chercher à «détruire les Palestiniens», en arrêtant une soixantaine de personnes, dont 51 ex-prisonniers libérés en échange du soldat Shalit en 2011. Au même moment, la …
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