Les camps de Tindouf doivent cesser de faire exception en matière d’enregistrement, un outil indispensable de protection permettant de lutter contre le détournement de l’aide humanitaire, a déclaré l’ambassadeur représentant permanent du Maroc à Genève, Mohamed Aujjar.
S’exprimant devant le Comité permanent du Haut-commissariat aux réfugiés (HCR), Aujjar a souligné que « l’absence d’enregistrement des refugiés les condamne à vivre dans une situation d’incertitude juridique, dépendant de l’assistance et les expose à des risques de protection, y compris à l’exploitation et l’esclavage ».