Les banques marocaines seront épargnées lors de cet exercice, en cas de conjoncture difficile dans le monde arabe. La conclusion est de l’Union des banques arabes (UAB), dans une nouvelle étude. Celle-ci cite le secteur bancaire marocain parmi ceux qui ne feront pas face à des risques qui impacteraient négativement ses performances.
Pour l’UBA, les risques seront bien maîtrisés grâce à la diversification des portefeuilles de crédit, en plus des efforts consentis par la banque centrale pour consolider la stabilité monétaire et financière.
Toutefois, les problèmes relatifs aux liquidités dans les banques du Conseil de coopération du Golfe et d’autres pays exportateurs de pétrole (Algérie, Libye et Irak) sont parmi les principaux risques qui guettent le secteur bancaire arabe.